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Les risques qui peuvent rétracter la banque à octroyer un crédit à une entreprise

admin — Thu, 15 Nov 2018 10:56:05 +0000

La banque, quand elle joue son rôle de prêteur, est tenue de ne pas prendre de risques. Elle n’accordera donc les fonds que si l’emprunteur est apte à rembourser le prêt qu’il contracte, et cette capacité se devra d’être élevée. Le principal souci de la banque prêteuse est donc de conserver le capital. Elle aura également pour mission de maintenir la capacité de remboursement de l’entreprise emprunteuse. Ceci ne va pas de soi, car l’entreprise comporte des risques qui pourraient l’amener à ne pas honorer ses engagements envers la banque.

Le risque d’anti-sélection

Cette situation est observée lorsque des entreprises emprunteuses qui peuvent générer un haut risque se voient octroyer des crédits selon les mêmes termes que des sociétés qui représentent un risque de moindre importance. Ceci est le fait d’une évaluation comportant peu d’exactitude concernant le niveau de risque et de compétences des emprunteurs. D’une part, le risque d’anti-sélection est facteur du fait que l’emprunteur est un grand inconnu pour le financeur. Et d’autre part, quand l’emprunteur remplit les demandes de financement, il n’accorde pas, pour une raison ou pour une autre, assez d’importance à la qualité de l’information qu’il fournit. Quand les prêteurs ne disposent pas d’informations suffisantes ou précises sur les entreprises qui empruntent, ils peuvent être amenées à choisir des clients de manière inadéquate, ou bien être induites en erreur et faire bénéficier à toutes les entreprises des conditions de prêts et un taux d’intérêts semblables. Ce fait tend, d’un côté, à inciter les emprunts risqués et, de l’autre, à démotiver les entreprises solvables. Les situations évoquées élèvent les coûts des crédits accordées aux entreprises et accroissent le risque de crédit. Ceci participe à amoindrir l’offre de financement aux entreprises. Et lorsque l’emprunt est accordé, les exigences liées aux crédits sont perçues comme étant trop sévères.

Le risque moral et de crédit

Les emprunteurs peuvent ne pas respecter les engagements stipulés dans le contrat de prêt : c’est le risque moral. Ce risque peut s’expliquer par le fait que les chefs d’entreprise emploient les fonds du prêt pour d’autres projets comportant plus de risques dans l’espoir d’obtenir un rendement plus intéressant. Le risque de crédit s’en trouve ainsi augmenté pour les fournisseurs de capitaux. La banque peut alors exiger des garanties personnelles de la part des dirigeants-propriétaires. Ceci est entrepris afin de réduire le risque. Mais cette demande de garantie constitue un obstacle supplémentaire pour l’octroi de crédit bancaire par les PME, surtout pour les entreprises nouvellement créées.

Les conditions de financement externe d’une entreprise

admin — Mon, 17 Sep 2018 16:38:59 +0000

Une entreprise qu’elle vient de se lancer dans une activité ou qu’elle soit en plein développement, a besoin d’appui externe pour progresser. Un financement est toujours le bienvenu dans ce cas, mais sous condition. Quels types de financement externe peut-elle prétendre dans ce cas et sous quelles conditions d’octroie.

Les différents types de financement externe d’une entreprise

Parmi les financements nécessaires octroyés pour le fonctionnement de l’entreprise, on peut distinguer le crédit à court terme. C’est un type de prêt avec une durée qui est inférieure à deux ans et qui consiste essentiellement en une avance sur le coût des commandes correspondant aux œuvres déjà effectuées, mais encore impayées. Ensuite, il y a le crédit à moyen terme. C’est un type de prêt pouvant s’étaler sur une période de 2 à 5 ans et offrant l’éventualité d’une prévision de mobilisation des amortissements à faire sur des immobilisations. Toutefois, ce financement est dirigé par les principes de bases suivantes. Premièrement, il est essentiel qu’il y ait un envoi d’une demande suivant la présentation d’un plan de prévision de trésorerie, suivant le marché à financer. Il faut aussi prévoir un dépôt de garantie valide et consenti entre les deux parties. Il peut être limité à la valeur du crédit demandé afin d’avoir une limite sur les frais d’enregistrement. Ensuite, il est nécessaire de considérer un financement des immobilisations par crédits distincts et généralement à moyen terme, avec en appui, la disponibilité d’un plan d’amortissement. Et enfin, voir la limitation des découverts et utilisation de manière intermittente afin de combler les écarts de trésorerie. Toutefois, la valeur maximale ne doit pas dépasser les 5 % du chiffre d’affaires enregistrées durant les trois mois en cours. Les participations des institutions bancaires par caution sont également mises en place pour s’adapter aux entreprises. Ils rassurent sur la capacité technique, la crédibilité ainsi que la confiance sur les entreprises qui soumissionnent.

Les types de caution demandés lorsqu’on veut un financement extérieur

Les cautions exigées sont essentiellement ceux définis comme suit. Tout d’abord, il y a la caution provisoire. Elle est prévue pour rassurer quant au sérieux de la société soumissionnaire et de son offre. En second lieu, on retrouve la caution définitive, garantissant la titularisation de la société par rapport à un marché public. Ensuite, il y a la caution de retenue de garantie remplaçant la caution définitive progressivement, face à l’évolution du marché. Enfin, il y a la caution pour avances utile lorsque le marché prévoit des avances à l’entreprise et entre autres, les avances sur les matériels, les procédures de démarrage ou encore l’approvisionnement. Ainsi, les crédits bancaires octroyés aux sociétés doivent collaborer soit au démarrage des activités, soit dans leur accompagnement financier.

Tout comprendre sur le bitcoin avant d’investir

admin — Thu, 07 Jun 2018 08:13:20 +0000

Certaines personnes contractent un prêt bancaire ou mettent en hypothèque leurs maisons pour acheter du bitcoin. Vous vous demandez alors à quel point cette crypto monnaie peut-elle être intéressante et rentable ? Cette devise virtuelle cryptographique est en constante évolution. Impossible de savoir 100% à l’avance que vous allez gagner ou perdre. Toutefois, il existe quelques principes simples pour limiter les pertes et maximiser les gains.

Histoire du bitcoin

Il a été inventé en 2009 et n’a cessé d’évoluer pour attirer de plus en plus d’investisseurs. Même si de nombreuses crypto monnaies ont vu le jour après le bitcoin, ce dernier est resté le roi du marché. La création de monnaie virtuelle a été incitée par la grande récession des années 2007-2012 après la crise des prêts hypothécaires aux États-Unis. On pensait au début que le bitcoin serait un outil pour lutter contre la corruption du système financier. Les banques sont remplacées par la cryptographie et le code informatique pour faire circuler une monnaie virtuelle. Grâce à ce système décentralisé, de nombreuses personnes sont devenues des millionnaires en quelques années seulement. Le bitcoin est devenu l’un des plus gros portefeuilles au monde avec plus d’un milliard de dollars en cours sur le marché actuel.

Comment investir en bitcoin ?

Cette monnaie numérique décentralisée fait de plus en plus d’adeptes. Elle n’est affectée à aucun gouvernement ou institution. La transaction, l’achat comme la vente, se font sur des plateformes d’échange. Vous pouvez par exemple acheter des bitcoins chez bitit.io. Les acheteurs et les vendeurs ne se connaissent pas, et sont couverts par l’anonymat. Ils s’échangent uniquement grâce à des clés de chiffrement. Sachez que l’investissement est facturé d’un côté par le protocole Bitcoin et de l’autre côté par les plateformes d’échanges en guise de frais. Enfin, il faut savoir que de nombreux cybermarchands et grandes enseignes acceptent actuellement les paiements en bitcoins.

Crédit à la consommation : quand y recourir ?

admin — Fri, 19 Jan 2018 08:23:21 +0000

Le crédit à la consommation se montre comme étant la solution par excellence en cas de besoin urgent d’argent ou pour réaliser un projet autre que l’immobilier. Entre 200 et 75 000 €, le crédit à la consommation se présente sous deux grandes catégories : les crédits affectés et les crédits non affectés.

Quels sont les crédits affectés ?

Les crédits affectés répondent à un besoin précis et sont généralement souscrits auprès d’une banque ou d’un établissement de crédit en ligne. Vous devez justifier le motif du crédit auprès de l’établissement prêteur et le montant du prêt devrait être équivaut au prix du bien ou du service acheté. Parmi les types de crédits affectés, il y a la vente à crédit permettant d’acheter un bien précis (exemple une voiture) et de régler le prix en plusieurs fois. L’offre de financement est directement formulée par des intermédiaires en opération bancaire dans le magasin où vous effectuez l’achat. Puis, la location avec option d’achat d’un bien acheté auprès d’un établissement de crédit. Ensuite, le regroupement de crédits permettant de rassembler vos différents crédits en un seul.

Quels sont les crédits non affectés ?

Les crédits non affectés sont plus flexibles puisque vous n’avez pas à justifier l’objet de l’achat auprès de la banque ou de l’établissement prêteur en ligne comme https://www.yelloan.com. Vous demandez une somme et vous en disposerez librement selon vos besoins. Il existe deux types de crédit non affecté : le prêt personnel et le crédit renouvelable ou revolving.
Avec le prêt personnel, il appartient au prêteur de définir la somme de crédit selon la capacité de remboursement du demandeur. Le montant, les mensualités et le taux d’intérêt sont fixés dès le départ.
Avec le crédit renouvelable, le prêteur met à la disposition du demandeur un capital toujours en fonction de la capacité de remboursement de celui-ci. Vous pouvez utiliser partiellement ou intégralement le capital selon vos besoins. Vous pouvez renouveler le crédit et disposer une nouvelle fois de la même somme lorsque l’argent est restitué intégralement.

Prendre soin de ses finances personnelles, ce n’est pas être radin

admin — Mon, 06 Mar 2017 15:22:50 +0000

Une mauvaise gestion de ses finances personnelles est souvent source de différents problèmes. Finir le mois n’est jamais facile lorsqu’on n’arrive pas à gérer son argent. Toutefois, être riche requiert aussi un bon mode de vie.

L’anxiété et la gestion de finance

Vouloir gérer de manière optimisée ses finances personnelles ne signifie pas se concentrer uniquement sur son argent. De même, se soucier de son état financier n’est pas prendre note point par point ses dépenses, jusqu’aux plus petits détails. Picsou n’est pas un bon exemple.

Une bonne gestion des finances pour pouvoir être serein

Contrairement à ces images négatives citées ci-dessus, savoir gérer son argent c’est pouvoir être en paix avec soi-même. C’est surtout s’apprêter à pouvoir faire face à tous les aléas de la vie en toute quiétude. C’est avoir la satisfaction de voir son compte épargne fleurir.

Les règles à suivre pour bien gérer son budget étudiant

admin — Fri, 04 Dec 2015 13:59:25 +0000

Entre les charges obligatoires, les dépenses courantes et les dépenses occasionnels qui pèsent vraiment lourds, il n’est pas toujours facile de maîtriser et de répartir son budget surtout quand on est encore étudiant. On risque souvent de faire un dérapage budgétaire ou tomber dans le risque de surendettement. Alors comment faire pour bien organiser son budget ?

Faire le point sur les dépenses à effectuer

Pour une bonne organisation de votre budget, pensez à évaluer toutes vos dépenses et essayez de les classer par ordre d’importance. L’habitation et les factures d’électricité demeurent les principales sources de dépenses obligatoires à effectuer, suivi de la dépense en alimentation, les frais de scolarité qui englobent à la fois les droits d’inscription, les livres et les frais d’abonnement internet. Les dépenses de transport ne peuvent pas non plus être négligées ainsi que les dépenses de santé, et pour terminer les vêtements, les sorties ou autres distractions. Mieux vaut prévoir à l’avance toutes les dépenses pour bien gérer votre revenu.

Savoir économiser

Il existe plusieurs manières d’économiser pour bien établir votre budget. Commencez par alléger les charges fixes comme le loyer. Vous pouvez opter pour la colocation ou les cités universitaires pour réduire vos dépenses. C’est une solution à la fois efficace et pratique. Les organismes publics et privés proposent également de nombreuses aides financières aux étudiantes comme l’APL (aide personnalisé au logement) ou l’ALS (Allocation de logement sociale) proposé par la CAF ou le dispositif CLE (caution locative étudiante) donné par l’Etat pour garantir votre logement.
En ce qui concerne les dépenses en alimentation, pourquoi ne pas manger dans les restaurants universitaires qui sont très intéressants au niveau du rapport qualité-prix ? Pour les vêtements, vous pouvez être top au petit prix avec les périodes de soldes et les braderies. Pour un dernier conseil, évitez de trop dépenser dans les divertissements même s’ils procurent de nombreux bienfaits.